Oh femme ! Quand tu me présentes ta moule
Ta cyprine de ton bénitier s’écoule
Et ma langue reluit ta boîte à mouille
Mes doigts puis mon dard pénètre ta cramouille
Je suis là à dénoyauter ton abricot
Lâcher mon sperme aillé dans ton escargot,
Remplir ta figue, la fontaine du plaisir,
Ta pompe à foutre, pleine de mon désir
Jambes écartées, de ton triangle d’amour
Ma semence s’écoule de ce puits d’amour,
Ta foune se vide sur ta conque glabre
Cette connasse de l’amour, l’antichambre
Et rejette de sa chatoune le trop plein
Alors le berceau du pape s’endort serein.
Ta cyprine de ton bénitier s’écoule
Et ma langue reluit ta boîte à mouille
Mes doigts puis mon dard pénètre ta cramouille
Je suis là à dénoyauter ton abricot
Lâcher mon sperme aillé dans ton escargot,
Remplir ta figue, la fontaine du plaisir,
Ta pompe à foutre, pleine de mon désir
Jambes écartées, de ton triangle d’amour
Ma semence s’écoule de ce puits d’amour,
Ta foune se vide sur ta conque glabre
Cette connasse de l’amour, l’antichambre
Et rejette de sa chatoune le trop plein
Alors le berceau du pape s’endort serein.