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NOSTALGIES !!

lilasys

Maître Poète
#1
NOSTALGIES !!


Une tourterelle, friandise déguisée
C'est ainsi que le miroir perce et voit
Nulle pluie nul tonnerre ne sont gravier
Seuls les hommes, les pierres, les dites lois
Forment le paragraphe fait de peurs
Un psyché où la faune influence
La liberté de penser et son malheur
Quand la douleur devient une île immense
Ô rossignol chante ces mélodies encore
Mets ces maux en indubitable musique
Au fond d'ailes aux plumes de l'aurore
Se lève, se couche cette force mélancolique
Vivre et mourir seraient-ils égaux ?
la violence naît bien sur notre terre
Et la mort espiègle ressuscite les tombeaux
Le plaisir de revivre et s'en satisfaire
Comme ville et campagne entre deux eaux
Les torrents, les ruisseaux et les grands affluents
Qu'importe où se terrent les semblants d'os
Nous ne sommes rien, qu'un vol de temps ...

LILASYS/INCANTADA
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#3
NOSTALGIES !!


Une tourterelle, friandise déguisée
C'est ainsi que le miroir perce et voit
Nulle pluie nul tonnerre ne sont gravier
Seuls les hommes, les pierres, les dites lois
Forment le paragraphe fait de peurs
Un psyché où la faune influence
La liberté de penser et son malheur
Quand la douleur devient une île immense
Ô rossignol chante ces mélodies encore
Mets ces maux en indubitable musique
Au fond d'ailes aux plumes de l'aurore
Se lève, se couche cette force mélancolique
Vivre et mourir seraient-ils égaux ?
la violence naît bien sur notre terre
Et la mort espiègle ressuscite les tombeaux
Le plaisir de revivre et s'en satisfaire
Comme ville et campagne entre deux eaux
Les torrents, les ruisseaux et les grands affluents
Qu'importe où se terrent les semblants d'os
Nous ne sommes rien, qu'un vol de temps ...

LILASYS/INCANTADA
Nos, ta vie.

Un tour pour elle, friandise aiguisée,
C'est ainsi que mon tiroir gerce et prévoit,

Nul ennuie, nul parterre pour ce que je vais graver,
Seule la femme qui espère, médite des fois,
Je déforme son paraphe fait de ses sueurs,
Mon épître, hé ! Où le jaune en affluence,
Ma faculté de dispenser pour son bonheur,
Quand ma couleur revient en file dense,
Oh ! Rosse bignole qui enchante de balivernes, picore,
Et qui met ces mots en inévitable texte ludique,
En rondelles, j’enrhume dès l'aurore,
J’élève et me mouche en une force maléfique,
Revivre et sourire te feraient-ils un mégot ?
Ma rigueur renaît de rien et me pousse à le faire,
Et le fort espiègle en suscite de beaux lambeaux,
Mes loisir me livrent à le refaire,
Gomme, fille et compagne entre deux beaux,
Les torts en faisceaux font de petits effluents,
Qu'exporte le doux qui se terre rassemblant les ados,
Pour une somme de biens, le survol de l’instant.
 

maryvelo

Maître Poète
#3
Sur une note optimiste je dirai qu'il est necessaire pour avancer de se sentir grand ....parfois....au cours d'une vie les choses changent.....comme dit Boson relativisons...Bisous